Résumé

Des injections intracérébroventriculaires répétées de l'anticorps monoclonal anti-dopamine conjuguée (ACm antiDAc) chez des souris Balb/c entraînent, pendant 8 semaines après la fin des injections, une hypersensibilité comportementale. L'analyse immunohistochimique montre que cette hypersensibilité ne semble pas liée directement à une perte des cellules DA dans la substance noire et dans l'aire tegmentale ventrale.


Mots clés: Anticorps dopaminergiques, Injections intracérébroventriculaires, Hypersensibilité comportementale, Souris