Résumé

L’analyse de l’aptitude à l’androgenèse in vitro d’une collection de 100 génotypes de blé dur de France a montré que 50 plantes chlorophylliennes ont pu être régénérées à partir de 17 génotypes dont 4 lignées fixées (Mondur, Primadur, Eurodur, Megadur). 1,16 plantes chlorophylliennes pour 100 anthères mises en culture est le pourcentage le plus intéressant obtenu chez la lignée Mondur. L’effet génotypique est très significatif pour tous les paramètres analysés sauf pour le pourcentage de régénérations chlorophylliennes, car ce dernier reste assez faible et, par conséquent, peu discriminatoire. Le nombre de régénérations racinaires obtenu est un parametre qui a été inclus dans cette analyse, étant donné son niveau élevé.