Résumé

Dans le but de déterminer l’importance des avortements et la séroprévalence de deux infections abortives à savoir la brucellose et la chlamydiose chez les caprins dans les provinces du Nord, une enquête sérologique a été réalisée au niveau de 5 abattoirs ruraux et de 11 élevages de la province de Chefchaouène et de Tétouan. Un total de 374 échantillons de sérums a été prélevé à partir de caprins abattus au niveau des 5 abattoirs. Au niveau des élevages, des enquêtes sur les avortements ont été réalisées et des prises de sang ont été effectuées sur 26 chèvres ayant avorté et 55 chèvres ayant mis bas normalement. Le dépistage sérologique de la brucellose a été réalisé par le test à l’antigène tamponné (Card-Test) et celui de la chlamydiose par la technique de fixation du complément selon une micro-méthode de type Kolmer. La fréquence des avortements dans les élevages enquêtés était de 25%. Aucun sérum ne s’est révélé positif à la brucellose. La chlamydiose a été détectée dans 6 parmi les 11 élevages visités avec une séroprévalence globale de 14,8%. Le pourcentage de séropositivité enregistré chez les chèvres avortantes testées est de 19,2% contre 12,7% chez les chèvres à mise bas normale. Pour les échantillons de sérums prélevés à partir de femelles adultes abattues dans les 5 abattoirs précités, une séroprévalence chlamydienne totale de 16,9% a été enregistrée.


Mots clés: Caprins - Avortements - Brucellose - Chlamydiose - Chefchaouène - Tétouan - Maroc

INTRODUCTION

Au Maroc, le cheptel caprin compte 5 millions de têtes environ. Il détient ainsi la 2ème place à l’échelle nationale après l’élevage ovin, la 3ème place à l’échelle mondiale et la 1ère place à l’échelle maghrébine. L’importance socio-économique de l’élevage caprin au Maroc n’est pas à discuter d’autant plus qu’il permet de valoriser les ressources fourragères dans les zones défavorisées de montagnes et de parcours, notamment dans les régions du Nord qui comptent 13,5% de l’effectif caprin national (Kabbaj & Benlakhal, 1988).

Cependant, le secteur caprin au Maroc subit des aléas d’ordres climatique et sanitaire. Par ailleurs, les maladies des caprins ont souvent été assimilées à celles du mouton négligeant ainsi les différences de sensibilité de ces deux espèces vis-à-vis des agents pathogènes. Parmi ces maladies, les avortements pourraient constituer des contraintes sanitaires majeures de l’élevage caprin national. Les causes d’avortement chez les caprins sont essentiellement infectieuses et comprennent Brucella melitensis, Chlamydia psittaci, Coxiella burnetii, Toxoplasma gondii et d'autres agents (East, 1983).

L’objectif du présent travail est de déterminer l’importance des avortements et la séroprévalence de deux infections abortives à savoir la brucellose et la chlamydiose chez les caprins dans les régions de Chefchaouène et Tétouan.

MATÉRIEL et MÉTHODES

Choix des abattoirs et élevages

Cinq abattoirs ruraux dont 4 de la province de Chefchaouène (Bab Taza, Béni Dercoul, Assifane et Tanakoub) et un de la province de Tétouan (Khemiss El Anjra) ont été choisis et visités. Une prise de sang a été effectuée systématiquement sur toutes les chèvres adultes destinées à l’abattage. De même, 11 élevages caprins de la région de Chefchaouène ont été choisis et visités. À l’aide d’une fiche d’enquête, les informations concernant les caractéristiques de l’élevage, l’état sanitaire global du troupeau et les commémoratifs relatifs aux avortements ont été recueillis. Puis des prélèvements de sang ont été effectués sur toutes les chèvres ayant avorté durant la saison de chevretage en cours et chez les chèvres ayant mis bas normalement (10% de l’effectif de femelles/ troupeau). Les sérums collectés à partir des prélèvements de sang ont été stockés à -20C jusqu’à leur analyse.

Recherche sérologique de la chlamydiose

La sérologie de la chlamydiose a été réalisée suivant la technique de fixation du complément de type Kolmer à 2 unités de complément et fixation pendant une nuit à +4C. Brièvement, les sérums ont été décomplémenté par chauffage au bain- marie à 56C pendant 30 mn et dilués au 1/40ème et au 1/80ème dans un tampon veronal calcium- magnésium à pH 7,4 (Veronal, Bio-Mérieux). Ensuite, 25 ml de sérum dilué sont placés dans les cupules d’une plaque à microtitration à raison de deux cupules pour chaque dilution de sérum. Une quantité de 25 ml de l’antigène de Chlamydia (Chlamyfix) a été ajoutée à 2 dans les cupules ayant reçu les dilutions sériques (1/40ème et 1/ 80ème) de chaque sérum. Les deux cupules restantes n’ont reçu aucun antigène. Après une nuit d’incubation à +4 C, 25 ml d’un système hémolytique sont déposés dans chaque cupule de la plaque. Ce système hémolytique est constitué d'une solution à 50% de sérum hémolytique dilué au 1/1000ème (Biopharma, Rabat) + 50% de suspension à 2% de globules rouges de mouton. La plaque est ensuite incubée à 37 C pendant 30 mn puis placée à +4 C, jusqu’au moment de la lecture. Au niveau de chaque plaque, deux cupules pour un sérum témoin positif et deux cupules pour un sérum témoin négatif sont utilisés à côté des sérums à tester.

Recherche sérologique de la brucellose

Le test utilisé est le test de séro-agglutination rapide sur lame (E.A.T) décrit par Pilet et al. (1979). Brièvement, sur chaque cupule d’une plaque pour Card-Test sont mélangées une quantité de 0,05 ml de la suspension antigénique (antigène brucellique acide, tamponné et coloré au Rose-Bengale préparé à partir de la souche B. abortus) et une quantité équivalente de sérum à tester non dilué. Une cupule est utilisée pour un sérum témoin négatif.

RÉSULTATS

Caractéristiques de l’élevage caprin

L’effectif moyen des caprins dans les exploitations enquêtées est de 50 têtes, dans leur grande majorité, de race locale. Les élevages bovin et ovin sont faiblement représentés. La notion de chevrerie est souvent absente. Les caprins partagent généralement leur habitat avec les ovins ou parfois même avec les bovins et/ou les équidés. Les locaux d’hébergement des animaux sont constitués soit d’enclos, de pierres ou de branches, installés près des maisons, soit d’anciens bâtiments.

Le calendrier fourrager est dominé par les ressources pastorales: forêts et chaumes. Les pâturages sont collectifs et les animaux y pâturent en compagnie d’autre espèces animales notamment les ovins. La supplémentation alimentaire est réservée aux sujets mâles à l’engraissement ou, dans quelques élevages, aux femelles allaitantes soumises à la traite. Elle est à base de concentrés constitués essentiellement de produits de l’exploitation (orge, féverole, orobe, etc.).

L’hygiène reste relativement précaire dans la totalité des élevages. La forte densité animale est une règle générale de l’élevage caprin dans la région. Les animaux malades font rarement l’objet de traitements spécifiques et aucun soin particulier n’est apporté ni aux chèvres avortantes ou mettant bas normalement, ni aux chevreaux nouveau-nés. Des traitements prophylactiques contre les parasites internes et externes sont peu fréquemment entrepris et d’une manière très irrégulière.

La lutte n’est soumise à aucun contrôle. Les animaux sont en lutte libre. Les chèvres et les boucs cohabitent tout au long de l’année. De ce fait, les naissances sont étalées sur toute l’année avec un pic de chevretage observé durant la période de fin décembre à avril.

Fréquence des avortements

Sur les 355 chèvres reproductrices des 11 élevages visités, 26 (7,3%) dont 9 primipares ont avorté au cours de la saison de chevretage de décembre 1993 à avril 1994. Les signes cliniques associés aux avortements ont été rarement rapportés sauf quelques cas d’abattement et d’écoulements vaginaux purulents observés par les éleveurs en période post-abortive.

Sérologie de la brucellose

Le test de séro-agglutination sur lame réalisée sur les 455 échantillons de sérums prélevés au niveau des 11 élevages visités et des 5 abattoirs enquêtés n’a révélé aucune réaction positive vis-à-vis de la brucellose.

Sérologie de la chlamydiose

Le test de fixation du complément n’a pas permis de détecter les anticorps anti-Chlamydia chez les mâles et les jeunes femelles au nombre de 220 têtes. Ceci est en accord avec les résultats déjà rapportés dans la littérature (Chomel et al., 1988). Par conséquent, seuls les résultats obtenus chez les femelles adultes sont considérés dans l’interprétation.

Sur les 154 sérums de chèvres adultes abattues au niveau des 5 abattoirs durant la période de fin décembre à début février, 26 échantillons se sont révélés positifs au test de la FC soit 16,9% (Tableau 2).

Tableau 1. Taux d’avortements enregistrés dans les élevages suivis

Tableau 2. Résultats du test de Fixation du complément pour le dépistage de la chlamydiose chez les chèvres adultes abattus

Le pourcentage de séropositivité des sérums testés varie d’un abattoir à un autre (Tableau 3).

Tableau 3. Résultats sérologiques du test de la fixation du complément pour le dépistage de la chlamydiose chez les femelles adultes abattus selon les abattoirs étudiés.

Le pourcentage le plus élevé a été enregistré dans l’abattoir de Tanakoub (région de Chefchaouène) avec 25% et le plus faible étant enregistré dans l’abattoir de Khemiss El Anjra (région de Tétouan) avec 9,8%.

Les résultats du test de fixation du complément (FC) réalisé sur les échantillons de sérums prélevés à partir de 81 chèvres adultes appartenant au 11 élevages visités sont illustrés sur le tableau 4. Sur les 81 chèvres testées, 12 ont été reconnues séropositives soit 14,8%.

Parmi les 26 chèvres avortantes testées, 5 se sont révélées séropositives soit 19,2% et parmi les 55 chèvres à mise-bas normale testées, 7 se sont révélées séropositives soit 12,7%. Sur les 11 élevages visités, 6 troupeaux (54,5%) se sont révélés infectés dont 1 sans aucun cas d’avortement signalé au cours de la saison de chevretage. Aussi, 33,3% des primipares avorteuses étaient séropositives vis-à-vis de la chlamydiose contre seulement 11,8% chez les multipares avorteuses.

D’un autre côté, parmi les chèvres à mise-bas normales testées, 15,6% des multipares ont été trouvées infectées contre 8,7% chez les primipares (Tableau 4). Par ailleurs, il convient de signaler que les chèvres primipares représentent 60% de l’ensemble des avorteuses séropositives alors que chez les chèvres à mise-bas normale séropositives, se sont les multipares qui l’emportent avec 71,4% (Tableau 4).

Tableau 4. Répartition des résultats positifs au test de la FC chez les chèvres avortantes et à mise-bas normale selon leur numéro de gestation

DISCUSSION

Les fréquences globaleles des avortements au sein des élevages suivis varient entre 4,4% et 20%. Pour l’ensemble des troupeaux, la moyenne est de 7,3%. Ces résultats sont similaires à ceux qui sont rapportés par Rajad (1983) chez des troupeaux caprins de la région de Chefchaouène (0 à 14%) et par Benkirane et al. (1990) et Manyari (1992) chez des troupeaux ovins respectivement dans la région de Rabat (7%) et Zaers et Moyen-Atlas (7,5%).

La majorité des avortements a eu lieu tardivement (au cours de la 2ème moitié de la gestation). Ces avortements sont surtout effectués sur les multipares. En effet, les avortements précoces ont moins de chance d’être observés et passent donc inaperçus comme cela a été signalé par Benkirane et al. (1990).

Les chèvres qui avortent précocément peuvent reprendre leur activité sexuelle et être fécondées de nouveau, d’autant plus que la lutte est libre et non contrôlée. Ce problème se trouve encore accentué par la saillie prématurée et donc sujettes à des avortements précoces.

Le choix du test de séro-agglutination pour la détection des agglutinines sériques antibrucelliques a été dicté par sa haute sensibilité, sa simplicité et la rapidité de son exécution (El Hraïki, 1983).

En outre, cette méthode a été recommandée comme test de dépistage ou “screening” (Verger, 1988). Sur les 455 sérums testés, aucune réaction positive à Brucella n’a été enregistrée. Ce résultat est similaire à celui qui est rapporté par Rajad (1983) qui a utilisé le même test chez des troupeaux caprins de la région de Chefchaouène.

Quoique la brucellose à Brucella melitensis fut suspectée au Maroc (Benkirane et al., 1990), il n’existe pas de données récentes confirmant cette infection dans le nord ouest du pays. Toutefois des enquêtes sérologiques réalisées dans des troupeaux ovins de la région de Rabat par Benkirane et al. (1990) et de la région des Zaers et Moyen-Atlas par Manyari (1992) font état d’un faible taux d’infection brucellique chez les troupeaux étudiés (2% et 1,8% respectivement). Cependant, aucune confirmation quant à l’espèce de Brucella en question n’a été rapportée (B. melitensis ou B. abortus).

L’absence de preuve sérologique de l’infection brucellique chez les caprins au niveau de la région d’étude peut être expliquée, d’une part, par la topographie accidentée et le relief varié de la région du Nord et, d’autre part, par la faiblesse de l’élevage bovin dans cette zone. En effet, ces conditions font de cette région une sorte de biotope isolé et protégé par des obstacles naturels contre l’extension de l’infection brucellique.

La fixation du complément est le test sérologique le plus couramment employé dans le dépistages de la chlamydiose (Taoudi & Rodolakis, 1988). Cependant, elle présente quelques inconvénients; d’une part elle décèle aussi bien l’infection génitale que l’infection intestinale banale dans de nombreux troupeaux et d’autre part, elle ne permet pas de déceler l’infection chez le jeune ou le mâle (Chomel et al., 1988; Taoudi & Rodolakis, 1988), comme il a été le cas dans cette étude. En plus, certains sérums exhibent un pouvoir anticomplémentaire et ne peuvent donc être interprétés.

Les résultats obtenus ne sont qu’indicatifs de la séroprévalence chlamydienne et ne sauraient refléter avec exactitude la réalité de l’infection chlamydienne.

Chez les chèvres prélevées au niveau des élevages, la séroprévalence enregistrée vis-à-vis de la chlamydiose est de 14,81%. Des résultats similaires ont été obtenus chez des troupeaux ovins par Benkirane et al. en 1990 dans la région de Rabat et par Manyari en 1992 dans les régions des Zaers et Moyen-Atlas avec environ 15% de séropositivité globale. Des travaux similaires réalisés au Tchad dans des foyers d’avortements caprins ont rapporté un taux d’infection de 15,1% chez les femelles testées (Lefèvre et al., 1979).

Par ailleurs, l’enquête réalisée au niveau des “abattoirs” a révélé un pourcentage de séropositivité de 16,9%, ce qui s’aproche de celui enregistré au niveau des élevages visités. L’enquête au niveau des “abattoirs” est donc représentative de l’infection au niveau des troupeaux.

Chez les chèvres avortantes, la séroprévalence de la chlamydiose est de 19,2%. Cette valeur est supérieure à celle qui est enregistrée chez les chèvres à mise-bas normale testée et qui est de 12,7%. Cette différence suggère que l’infection chlamydienne joue vraisemblablement un rôle important dans le déterminisme des avortements déclarés.

Le pourcentage de troupeaux trouvés infectés est de 54,5%. Cette valeur se situe entre celle qui est rapportée par Benkirane et al. (1990) qui est de 61% et celle qui est rapportée par Chaârani (1987) et qui est de 38% chez des troupeaux ovins respectivement dans les régions de Rabat et Meknès.

Par ailleurs, la présence de réactions positives au test de la fixation du complément dans un troupeau où aucun cas d’avortement n’a été signalé semble indiquer que l’établissement de cette infection chlamydienne dans cette élevage est ancienne. Cette constatation est en accord avec les résultats obtenus par Rajad (1983) qui a rapporté un taux d’infection à Chlamydia de 8% chez des troupeaux caprins de la région de Chefchaouène.

Les chèvres primipares représentent 60% des chèvres avortantes séropositives alors que chez les chèvres à mise-bas normale séropositives, se sont les multipares qui sont majoritaires avec 71,4%. Ceci est en accord avec les résultats rapportés dans la littérature puisque chez les petits ruminants infectés par Chlamydia se sont principalement les primipares qui avortent.

Par contre, les multipares développent une immunité solide et durable (5 à 6 ans) leur permettant de mener à terme leurs gestations utlérieures même lors d’infections répétées (Fatoux, 1983).

Malgré l’existence de preuve sérologique de la présence de l’infection chlamydienne dans les troupeaux étudiés, les avortements enregistrés ne peuvent être imputés en totalité à l’infection par Chlamydia, et l’isolement du germe de l’avorton ou du placenta peut en apporter une confirmation de certitude.

Toutefois, la relation qui existe entre les avortements et une sérologie positive vis-à-vis de la chlamydiose, l’allure enzootique de ces avortements, l’absence de preuves sérologiques de la présence de la brucellose et les conditions d’élevage et d’entretien des animaux (hygiène, alimentation, etc.) permettent d’avancer que l’infection chlamydienne constitue une cause majeure des avortements chez les caprins dans la région d’étude.

À côté de la chlamydiose, d’autres causes infectieuses et non infectieuses peuvent être responsables des avortements observés en l’occurrence la fièvre Q, la toxoplasmose, la salmonellose, les intoxications, les facteurs nutritionnels et les accidents (East, 1983) et qu’il faudrait déterminer et en évaluer l’incidence.

RÉFÉRENCES CITÉES

Benkirane A, Jabli N & Rodolakis A (1990) Fréquence d’avortement et sérpprévalence des principales maladies infectieuses abortives ovines dans la région de Rabat (Maroc). Ann Rech Vét 21: 267-273

Chaârani B (1987) Management and productivity of sheep flocks in Meknès province with special reference to abortion and lamb mortality. Thèse de Doctorat ès-Sciences Agronomiques, Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II, Rabat, Maroc

Chomel B, Precausta P, Lomard M & Favier C (1988) Chlamydiose caprine: une maladie aux conséquences économiques graves. Bull Tech Ovin et Caprin 19: 9-15

East NE (1983) Pregnacy toxemia, abortions and periparturient diseases. Veterinary Clinics of North America: Large Animal Practice 5(3): 601-618

El Hraïki A (1983) Contribution à la prophylaxie de la brucellose bovine: suites sérologiques et bactériologiques de la vaccination au B19. Thèse de Doctorat Vétérinaire, Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II, Rabat, Maroc

Fatoux M (1983) Avortements infectieux non brucelliques chez la chèvre. Thèse de Doctorat Vétérinaire, ENV Alfort, Paris, France

Kabbaj J & Benlakhal A (1989) Place et importance de l’élevage caprin à l’échelle nationale. In L’élevage caprin au Maroc: Problématique et possibilité de développement, 27 Juin, Ouarzazate

Lefèvre PC, Baketana K & Bertaudière L (1979) Note sur un foyer de chlamydiose abortive de la chèvre au Tchad. Rev Elev Med Vet Pays Trop 32 (1): 33-35

Manyari A (1992 ) Étude séro-épidémiologique sur les maladies abortives chez les ovins dans les régions de Zaers et du Moyen-Atlas. Thèse de Doctorat Vétérinaire, Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II, Rabat, Maroc

Rajad A (1983) Contribution à l’étude de la pathologie caprine en élevage laitier. Thèse de Doctorat Vétérinaire, Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II, Rabat, Maroc

Taoudi A & Rodolakis A (1988) La chlamydiose In Les Maladies Infectieuses du Mouton. Fassi-Fehri MM (Ed.), Actes Éditions, Rabat, tome 1, pp. 439-461

Verger JM (1988) La brucellose In Les Maladies Infectieuses du Mouton. Fassi-Fehri MM (Ed.), Actes Éditions, Rabat, tome 1, pp. 230-266